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Théâtre: les subventions revues à la baisse, le coût pour la ville augmente... janvier 2005
Analyse par la ville de la concertation en vue de création d'une ZAC " Cur de Ville " juin 2004
Analyse par MVO de l'analyse ci-dessus juin 2004
ce bilan sera présenté par la ville au prochain conseil municipal, le 24 juin
La municipalité y répond aux critiques et éloges (il y en a eu aussi) relevés dans l'enquête publique de janvier-févreir 2004
Toutes ces réponses sont des justifications des décisions prises par la mairie On a demandé leur avis aux habitants, mais il n'est absolument pas envisagé d'en tenir compte. Il y a deux cas de figures dans ce bilan
Bref, une enquête pour rien, (lire la suite)
Sur
la concertation en vue de la création d'une ZAC "
Cur de Ville "
Quel est l'objet véritable de cette concertation ? On ne
le comprend pas vraiment en prenant connaissance du dossier.
- Est-ce l'opportunité de créer une ZAC, comme outil
technique de l'opération ? Mais il n'y a guère d'explications
sur les raisons de ce choix, ni d'éléments qui permettraient
de choisir entre plusieurs outils techniques après comparaison.
L'idée que cela permettrait un contrôle financier
rigoureux est recevable en principe. En réalité,
c'est la convention publique d'aménagement qui favorise
ce contrôle, et non pas la structure juridique ZAC en elle-même.
En quoi la ZAC est indispensable ? Il n'y a pas véritablement
d'arguments présentés dans le dossier. On peut aussi
rester sceptique après l'épisode de la Semimo-B
et des ZAC qu'elle aménageait. Ce n'est pas un dossier
de concertation sur l'outil ZAC.
- Est-ce la pertinence entre un programme d'aménagement
et un outil ? Les grandes lignes du programme d'aménagement
sont présentées dans le dossier, avec les raisons
d'une opération lourde dans ce secteur, mais cela reste
singulièrement flou, et les éléments essentiels
n'ont pas été versés au dossier de concertation.
La convention publique d'aménagement avec la SIDEC, votée
le 21 mars 2002 par le conseil municipal, n'est pas jointe au
dossier. Les hauteurs, les surfaces, les localisations précises,
les destinations des bâtiments, les coûts (pour ce
qui est inclus, et pour ce qui ne l'est pas, tout en étant
indispensable au reste de l'opération), la séparation
de la tour administrative de sa jumelle, le nouveau plan de circulation,
les études d'Arlindo Stefani sur les usages des habitants
de la Cité de l'Espoir, le compte rendu de la concertation
entre l'OPHLM et les habitants de la Cité de l'Espoir :
rien de tout cela ne figure dans le dossier. Pareillement, un
élément essentiel n'est signalé que "
pour mémoire "et de manière sommaire : la cohérence
entre le projet urbain, les fonctions urbaines et des aménagements
d'un centre ville plus large que son cur. Ce n'est clairement
pas non plus un dossier de concertation sur le programme.
Une intervention lourde dans l'hypercentre est indispensable.
C'est une évidence que nous partageons. Mais, comme depuis
12 ans, l'information fournie par les promoteurs de l'opération
reste lacunaire et parcellisée. Les habitants n'ont pas
les moyens de débattre, à partir d'un diagnostic
partagé (qui n'a jamais été fait), ni de
décider en connaissance de cause, y compris financière.
Le dossier " Cur de Ville " a même été
sorti du débat général sur le PLU, qui s'engage
pour deux ans ce printemps 2004. Quelle aberration de débattre
du Cur de Ville sans le resituer dans l'ensemble du projet
urbain ![lire la suite]
Hypercentre: des palissades qui valent de l'or - février 2003 - La démolition du centre commercial, prélude au grandiose chantier "hypercentre" ne sera pas reprise avant fin 2004. Le coût de la démolition, évaluée il y a un an à 4 M, atteint aujourd'hui 7,3 M (7,3 millions d'euros, soit presque le coût de la future école Louise Michel, rien que pour une démolition!) Les travaux ont commencé début 2002, date à laquelle l'entrée de la tour administrative a été reportée avenue Wilson. Après six mois de cafouillage, qui ont coûté plus de deux millions d'euros, et sans avoir pratiquement avancé, le chantier a heureusement été interrompu en juillet, le "temps de réfléchir" [lire la suite]
Hypercentre: travaux de démolition interrompus - septembre 2002 - Les travaux de démolition de l'hypercentre sont arrêtés pour trois mois, jusqu'à mi-octobre. La raison? Les "imprévus" à répétition qui ne cessent d'augmenter le coût prévu de ce chantier de démolition. D'abord le désamiantage avait été sous-évalué et voilà une rallonge de 100 000 euros! [lire la suite]
Un hypercentre hypercher - avril 2002 - L'aménagement de l'hypercentre est un choix politique. A ce titre, son coût pour la collectivité devrait être clairement affirmé. Or, il est extrêmement difficile d'obtenir des informations. Après bien des demandes, nous avons eu communication d'une partie des documents. [lire la suite]
Les gaietés de l'hypercentre - mars 2002 - Parmi les grandes pensées du règne de Jean Pas Bon Ier, ladmirable destruction-reconstruction de l hypercentre dont les montreuillois peuvent apprécier les effets : une nouvelle entrée de la Mairie (200 000 pour un guichet daccueil), tellement facile à trouver quil a fallu peindre en orange vif du plus bel effet 500 mètres de trottoir pour que les usagers parviennent à la découvrir [lire la suite]
Hypercentre : le gouffre financier - novembre 2001 - Opacité totale Combien a déjà coûté le projet d'aménagement de l'hypercentre? Combien coûtera-t-il à terme? Il est pratiquement impossible de le savoir. La municipalité a refusé, lors du conseil municipal de septembre, de donner la moindre précision à ce sujet, renvoyant, pour les dépenses déjà engagées, à l'examen de l'ensemble des décisions du conseil municipal depuis 6 ans, et arguant, pour l'avenir, de la difficulté d'une prévision autre que très globale et très vague. [lire la suite]
Hypercentre : rendez-vous le 15 avril - avril 2000 - Lentement, avec difficultés, le projet municipal démarre : après la promesse de vente au promoteur SOPIC (votée par le Conseil municipal de janvier), un accord a été signé en mars entre la Ville et l'Urssaf pour détruire une partie des pieds de la tour Urssaf. Cela a coûté le prix fort à la Ville : 11, 5 millions [lire la suite]
Sponsors et dépenses préélectorales - avril 2000 - Le 26 février, "Coeur-expo", nom de baptême du demi-tuyau installé place Jean-Jaurès, a été ouvert au public. Il était temps : à partir du 1er mars 2000 en effet, et en raison de la tenue des élections municipales en mars 2001, une réglementation beaucoup plus stricte s'applique aux dépenses de communication des maires sortants. [lire la suite]
Hypercentre : travaux annoncés et propagande préélectorale - janvier 2000 - Laborieusement, le dossier "hypercentre" avance. Un accord a été finalisé avec la RATP en décembre. L'accord avec l'Urssaf tarde [lire la suite]
Hypercentre : enquête-balai - septembre 1999 - C'est en ces termes éminemment "positifs" que le maire avait présenté la tenue d'une enquête publique concernant l'hypercentre, lors de la délibération du Conseil municipal (le 27 mai 1999) autorisant son ouverture. [lire la suite]
Hypercentre : le feuilleton continue - avril 1999 - Au conseil municipal du 25 mars, une nouvelle étape du projet a été franchie, pratiquement sans débats (il était minuit...) : l'approbation d'une convention avec un troisième aménageur, SOPIC (qui s'occupe déjà de l'îlôt Décathlon).[lire la suite]
Du côté des déplacements - février 1999 - L'idée de base du projet municipal est de réduire l'espace accordé en surface à la circulation automobile pour l'affecter à des déplacements à pied, en vélo et en bus.[lire la suite]
Le montage financier, février 1999.- Selon le document fourni au Bureau municipal du 21/10/98, l'opération hypercentre au sens strict coûterait 193 millions (HT), [lire la suite]
Déficit démocratique - février 1999 - On pose la question de l'hypercentre dans les conseils de quartier comme lors des repas de retraités ; il en remonte une approbation de la nécessité d'une intervention dans ce secteur, mais aussi une sous-information, une inquiétude sur les projets et les rythmes, et une demande de discussion. La campagne de pétition pour une réunion extraordinaire du Conseil municipal pèse dans le même sens [lire la suite]
16eme ciel - février 1999 - Planète Méliès. Sous ce titre, l'association "16ème Ciel" propose de développer au centre ville (hypercentre, cité de l'Espoir, quartier de l'église) un ensemble d'activités économiques et culturelles autour du cinéma, des arts et du multimédia [lire la suite]
Le projet municipal - janvier 1999- La commande politique faite à l'architecte Siza vient, en amont, du projet urbain élaboré au dé-but des années 1990, qui fixe pour 20 ou 30 ans l'évolution de la ville. La construction d'un "grand centre" est mise au coeur du projet, avec la rénovation de l'hy-percentre, la densification de la population et la création d'un anneau d'avenues contour-nantes : "avoir un centre ville digne d'une ville de 100000 habitants" est une antienne permanente dans les documents municipaux [lire la suite].
Présentation schématique du projet - janvier 1999
Un dossier difficile à boucler - janvier 1999 - Les origines du projet. La Ville souhaitait associer les partenaires publics et privés présents sur le site pour les études, comme pour la réalisation de l'opération avec un opérateur privé. Une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre) a donc été constituée début 1996, associant la Ville, la RATP et Gulf (propriétaire des 2 tours); l'Urssaf et le STP (Syndicat des Transports Parisiens, propriétaire du Parking) ont refusé.[lire la suite]
Rénover autrement - janvier 1999 - Les opérations gigantesque, l'urbanisme de la table rase et des bulldozers, ne sont plus au goût du jour, ni possibles ni souhaitables. Les villes sont déjà trop peuplées d'éléphants blancs, échecs urbanistiques de grands noms de l'architecture. Il faut intervenir dans l'hypercentre, mais pas comme cela [lire la suite]
Hypercentre : le gouffre financier - septembre 1998 (article non encore numérisé)